Dans le premier cas, la chute est rapide, de l’ordre de quelques jours ou quelques semaines après le début du traitement ; dans le second, elle survient après un à deux mois de traitement. On parle alors d’alopécie médicamenteuse.
Parmi les médicaments provoquant une chute de cheveux en phase de croissance, on compte les anticancéreux (dont la chimiotherapie), mais aussi l’arsenic, le bismuth ou le thalium.
Dans le groupe des seconds figurent aussi bien des psychotropes, des anti-inflammatoires, des antihypertenseurs, que certains médicaments contre le cholestérol, certains antibiotiques, des anticoagulants, des antiépileptiques, des hormones sexuelles (contraceptifs oraux) ou des antithyroïdiens.